Je me sens bien quand je suis seule. C’est avec les autres que c’est compliqué.
C’est ce qu’une personne m’a confié aujourd’hui.
Et peut-être que toi aussi, tu te reconnais dans cette phrase.
Mais avant de penser que c’est juste une préférence pour la solitude, arrêtons-nous un instant. Ce n’est pas “être sauvage”. Ce n’est pas non plus “avoir besoin de son espace”.
Souvent, c’est bien plus profond que ça.
C’est le signe d’un trauma relationnel .
Un système nerveux qui ne se sent plus en sécurité dans le lien.
Un corps qui a appris à se méfier.
Un cœur qui s’est protégé, parfois depuis l’enfance.
La solitude : douce ou nécessaire ?
Oui, la solitude peut sembler douce. Apaisante.
Mais parfois, elle est surtout le seul endroit où tu te sens en sécurité .
Le seul endroit où tu n’as pas peur d’exister.
Quand la présence d’un proche déclenche de l’irritabilité…
Quand une pression inexplicable monte dès qu’on entre dans ton espace…
Quand tu rêves de calme, mais que ce que tu redoutes vraiment, c’est le contact…
Ce sont des signaux. Des signaux que ton système est en alerte.
Même si tout semble aller bien en surface.
— Comment ça va ?
— Oui, ça va.
Combien de fois as-tu répondu ça, même quand tout n’allait pas ?
Combien de fois as-tu souri, fonctionné, géré… au prix de ton énergie ?
La solitude choisie VS la solitude imposée
La solitude choisie, c’est précieux. C’est un moment pour toi, pour te ressourcer, pour te retrouver.
Mais la solitude imposée par la peur du lien, ça isole . Ça épuise .
Et surtout, ça te prive d’une chose essentielle : le réconfort d’une connexion vraie .
La bonne nouvelle : ce lien, tu peux le retrouver.
Mais pour ça, il faut d’abord réapprendre à te sentir en sécurité en toi .
À apaiser ton système nerveux. À renouer avec ta capacité à t’ouvrir aux autres sans te sentir menacé(e).
C’est exactement ce que je te propose dans mon accompagnement 1:1 Reconnexion , d’une durée de 3 mois.
Un chemin tout en douceur pour :
Apaiser ton système nerveux.
Retrouver le goût du lien — sans pression, sans masque, sans t’oublier.
Redécouvrir la joie d’être en connexion, sans que cela ne te coûte ton équilibre intérieur.
Et toi ?
Si cet article te parle, je t’invite à m’écrire.
Parce qu’il n’est jamais trop tard pour te sentir en lien. Vraiment.
Ni trop tard pour laisser l’amour entrer dans ta vie.
Avec bienveillance et plein d’amour,
Carmen
