J'ai peur mais j'y vais quand même

publié par Révélations de Carmen, le mercredi 21 août 2024



« J’ai peur. » – Une phrase que beaucoup d’adultes ont oublié de prononcer. Mais toi, quand l’as-tu dite pour la dernière fois ?

 

Tu sais sourire en réunion alors qu’intérieurement tout crie. Tu réponds « Oui, ça va, merci » quand tout ce que tu veux, c’est te cacher sous une couverture et ne plus bouger. Tu maîtrises, tu repousses, tu serres les dents… parce que tu « devrais être plus fort ».

 

Mais soyons honnêtes : ce n’est pas de fatigue ou de manque de motivation dont on parle ici. C’est de peur.

Peur de l’échec. Peur de ne pas être à la hauteur. Peur de ne pas être accepté.

Et ensuite ? La honte d’avoir peur.

 

Combien de murs as-tu construits autour de toi ? Murs de contrôle. Murs de perfection. Murs de « Tout va bien, t’inquiète. » Tu te caches si bien que parfois, tu ne trouves même plus cette peur. Tu ressens juste que quelque chose cloche.

 

« Je suis épuisé(e). »

« Je ne fais pas assez. »

« Si j’étais meilleur, j’y arriverais. »

 

Et quand tout s’effondre, tu te dis que t’es nul.

 

Mais non, tu n’es pas nul. T’es humain. T’es bloqué. Dépassé. Figé.

 

Et tu sais quoi ? Dans ces moments où tu te sens le plus vulnérable, t’es aussi incroyablement courageux.

 

Le courage, ce n’est pas l’absence de peur. Ce n’est pas cet héros qui avance sans jamais faiblir. Le courage, c’est de rester là, même quand ta voix intérieure murmure « Trop dur, trop lourd. » C’est dire, avec une petite voix tremblante : « J’ai peur. »

C’est s’effondrer… et revenir le lendemain.

 

Pourquoi est-il si difficile d’être authentique ?

 

Enfant, c’était naturel de dire : « J’ai peur. » Mais en chemin, tu as appris que la force, c’était de ne rien montrer. Alors tu t’es convaincu que tout irait mieux si tu cachais ce que tu ressentais.

 

Et où ça t’a mené ?

 

« Non, sérieusement, ça va ! » (alors que tes mains tremblent et que ton cœur bat la chamade).

« J’ai juste besoin de dormir un peu plus. » (quand tu sais que le problème est bien plus profond).

« Je vais m’en sortir. » (même si tout s’écroule à l’intérieur).

 T’as perdu de vue qui tu es vraiment. Tu joues constamment à « tout contrôler », mais au fond, tu fuis.

 

Et si aujourd’hui, tu cessais de fuir ?

 

Que se passerait-il si tu arrêtais de lutter contre toi-même ? Si tu acceptais que la peur n’est pas une faiblesse, mais une part de ton humanité ?

 

C’est ce que je propose dans mes accompagnements :

 

Un espace sans jugement, où t’as pas besoin d’être parfait.

Un lieu pour poser tes masques et être simplement toi.

Une écoute bienveillante de ce que ton corps et tes émotions essaient de te dire depuis si longtemps.

 Ce n’est pas une question de tout réparer rapidement. C’est une invitation à commencer à te reconnecter. À apprendre à écouter. À accepter que parfois, être fragile ne signifie pas être faible.

 

Ma question pour toi aujourd’hui :

« Et si j’arrêtais de fuir ce que je ressens ? »

 

La réponse pourrait bien être plus libératrice que tu ne l’imagines.

 

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Es-tu prêt.e à prendre ton billet à destination de ta sérénité ? Alors ne perds pas de temps et contacte-moi dès aujourd’hui.

Je suis là pour t’aider à réussir. 

J’ai hâte de voir ta vie se transformer pour le mieux.

Ce formulaire n’est pas destiné à des démarches de prospection commerciale.

 

© 2025 Carmen Scarlat